Dans notre activité immobilière, nous rencontrons régulièrement des clients hésitants à cause de la présence de logements sociaux dans un quartier.
Pourtant, ce sujet mérite qu’on en parle avec plus de recul.
À Paris (comme dans toutes les communes de plus de 3 500 habitants), la loi impose un quota minimum de logements sociaux — c’est la loi SRU.
Et pour cause : favoriser la mixité sociale, c’est construire une ville plus équilibrée, plus solidaire, plus résiliente.
Ces logements sont très variés : il ne s’agit pas uniquement de grands ensembles. Ils peuvent être neufs, très bien intégrés, et abritent des profils divers : jeunes actifs, retraités, familles mono ou bi-parentales, etc.
Non, la présence de logements sociaux dans une rue ne dévalorise pas un bien. Ce qui compte, c’est l’attractivité globale du quartier : commerces, transports, espaces verts, ambiance, écoles…
L’immobilier, c’est aussi une question de vision : celle d’un habitat ouvert, inclusif et tourné vers l’avenir.
Et si on changeait un peu notre regard sur la ville et ceux qui y vivent ?
N'hésitez pas à nous contacter au 01 85 61 85 61si vous avez la moindre question à ce sujet ou pour tout projet immobilier.
A bientôt,
L'équipe FREDéLION Sèvres-Lecourbe